Nous ne mesurons pas assez combien le jeune Macron, ci-devant Président est un sujet d’étude du « faisan » par excellence, comme pourraient lui faire songer ses nouveaux amis les chasseurs, ou bien la lecture de Bernanos (c’est de « son époque », au jeune Président) qui mettait en garde contre la littérature faisandée et de son influence sur les soi-disant jeunes intellectuels...
Il ne cesse, dans ses propos, de faire resurgir les objets de la Discorde française, telle Pandore, ou plus récemment aux cours des grandes heures de la lutte pour la Laïcité et « en même temps » octroyer et affirmer (fait du prince) le Concordat y compris en 1905 en Alsace Moselle.
Ajustons cette forme de mépris qu’il dispense, après avoir engagé un jeune horticulteur à traverser la rue pour y trouver un « job » (ce que sont tous ces anathèmes populistes comme le papier des cigarettes et qui s’envolent en fumée), puis refuser de porter le chapeau (le fameux Bibi, ou bien en référence à bibi fricotin le farceur et un peu arsouille avec lequel le chef de l’état pourrait se sentir en adéquation pour avoir lui-même « fait un casse à l’Élysée ») de sa politique absurde qui consiste à taxer la population de façon arbitraire et « en même temps » soustraire les plus aisés à l’impôt national qui est le produit par excellence de la redistribution fraternelle auprès des plus défavorisés (ceux qui sont en dernière position de cordée, “Frison Roche éprouverait certainement de la nausée devant cette interprétation de son beau livre”).
Et il récidive avec ce mépris affiché (et, {si non affiché}, c’est plus grave que cela, sans doute la détestation inconsciente de son père et des hommes morts au combat grands-pères, arrière-grands-pères, ceux qui font des enfants et les guerres) des souffrances des soldats français (compris ceux enrôlés dans les colonies Afrique, Asie… sans oublier les « indigènes de la République), et puis anglais, norvégiens, etc., mais également les soldats allemands, turcs (les Dardanelles) australiens… en voulant honorer huit ou bien cinq (ceux du Panthéon) maréchaux de la grande guerre, qui ont entraîné dans leur folie pitoyable 72 millions de soldats dans cette guerre tellement absurde, dont la justification consistait à conserver les privilèges de naissance, de fortune, de « race », contre un mouvement d’émancipation qui pointait le nez depuis quelques temps déjà !
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